Conférence de Mme Poujol, photos souvenirs

Quelques souvenirs de la conférence du 28 novembre dernière, organisée par l’Association Asie Centrale Voyages. 

Et c’est donc à la Maison d’Europe et d’Orient  que j’ai présenté le projet MVMO (sur fond de quelques photos persos  du coin)…

 

 

… avant que  Mme Catherine Poujol  ait répondu à l’interrogation :

« L’Asie centrale, entre mondialisation et tradition, est-elle devenue post-moderne ? »

 

Conférence de Mme Catherine Poujol

  Conférence de Mme Catherine Poujol

Merci à Daniyor Rozmetov, Maitre de cérémonie, pour m’avoir proposé de faire cette présentation.

Daniyor Rozmetov, Président d'AACV

 

Une affiche pour une conférence

Nouvelle infographie réalisée pour l’Association Asie Centrale Voyages , format A3.

L’occasion : une conférence de Mme Catherine Poujol à la Maison d’Europe et d’Orient, ce 28 novembre.

Demandez le programme :  « L’Asie centrale, entre mondialisation et tradition, est-elle devenue post-moderne ? »

 

Affiches, Conférence de Mme Catherine Poujol

Evangeline (Masson-Diez) a dit …

Evangeline est l’auteur du livre  « Les petits enfant de Lénine » … Livre très étroitement écrit  avec Patricio Diez son compagnon.

Carnet de voyage, comme je les aime, d’un couple partir un an sur les traces des jeunes « nouveaux indépendants », 15 ans après la disparition de l’URSS (Edition Alta Plama)

Je suis d’autant plus exalté que je suis rentré en contact avec Evangeline, auteur de ce livre … j’attends qu’elle réagisse à mes interrogations et « bêtises » …

Des impressions, des réflexions …   et des petits bouts de phrases qui ont résonné plus que d’autres …

GÉORGIE …Nestan : « … On est tous des artistes, ratés, mais des artistes. »

Poémes Festin de Vaja Pchavéla :  » Vers-moi, verse-moi à boire / Ce vin maudit et solitaire, / Peut-être verrai-je à l’endroit / Ce monde qui tourne à l’envers / Peut-être noierai-je en ce vase / Les maux dont mon coeur est rongé, / Ou frissonnerai-je d’extase / En apercevant la Beauté »

ARMÉNIE …

AZERBAÏDJAN …

TURKMÉNISTAN …

OUZBÉKISTAN … Alors qu’à Khiva et Tashkent tout se passe bien pour nos globetrotteurs. La fin de ce chapitre montre une sombre facette du pays. Loin de moi l’idée de refuser le fait que l’Ouzbékistan n ‘est pas un pays facile sur bien des points, mais je voudrai dire que la proximité des événements d’Andijan lors du récit n’aide forcement pas  Evangeline M-D à dresser un portrait flatteur de la vallée du Fergana.

Attaché à ce pays, je voudrai rattraper à ma façon cette fin en demi-teinte en précisant une chose sur la « surprise »  de l’auteur.

Cette région est particulièrement difficile et semble obliger l’état à beaucoup de vigilance. Le gouvernement affirme la présence de terroristes dans les montagnes. Ces dernières sont également et depuis longtemps un planque tournante de du transite de drogue … Il ne faut donc peut-être pas s’étonner, en tant que voyageurs, d’être pris en ligne de mire par les autorités en allant dans cette région ?

Je ne comprends pas cette inquiétude présenté subitement et particulièrement à ce moment de l’aventure. Pourquoi pas avant par le simple fait d’être dans ce type de pays ?

… mon attachement  à ce pays refait surface. J’aimerai bien pouvoir en parler avec l’auteur et faire le ménage dans ce que j’essaye de présenter (qui loin d’être une attaque, est une interrogation sur les sentiments dans ces pages).

Nouvel admirateur de l’Ouzbékistan, je suis souvent pousser à dire (par ignorance ou par l’influence de ma femme Ouzbek, plutôt chauvine) que tout l’origine de l’Asie centrale vient de chez eux ( Carrefour de la route de la soie, Khanat de Boukhara, … ?) A force de lecture j’en viens à penser que toute cette zone n’est qu’un grand mélange culturel ou tout le monde à offert un héritage au voisin (Mais qui a offert le plus à l’autre ? Qui était en est centre ?) De plus l’URSS est passé par dessus tout ça.  Tout est devenu si différent et tellement pareil pour eux …

Au fil de la lecture , je reste de plus en plus intrigué quand Evangeline parait surprise des difficultés de mouvements ou des tensions politiques qui font le quotidien des habitantes. Le texte peut presque laisser croire (par erreur et influencé par mon interprétation perso) qu’elle ne savait pas ou ne réaliser pas la réalité face à ce qu’elle avait pu lire ou voir (lors de ses premiers voyages dans la région)

Alors que les passages « politisés » me laisse dans un sentiment bizarre, je suis vraiment touché par les rencontres décrites et les nouvelles amitiés ou retrouvailles. J’ aimerais avoir un peu plus de développement sur ce quotidien. Aussitôt entré dans une l’intimité d’une vie, l’aventure continue, poussé par l’expiration d’un visa. Pas le temps de prendre un peu racine, … pas le temps de se lasser non plus.

… je me rappelle les amis et connaissances qui ont croisé mon chemin en Ouzbékistan. ça me donne  envie de les retrouver .

Evangeline :Effectivement les récents évènements d’Andijan lors de notre passage n’ont pas aidé mon discours et mes impressions. Et ces impressions étaient d’autant plus noires que j’avais rencontré un autre Ferghana lors de mes premières missions dans le coin en 2003, un Ferghana peut-être irréel ou poli, mais qui est aussi souvent le Ferghana que voient les touristes qui passent et oublient de regarder derrière les coupoles des medersas. Ni Patricio ni moi avons étonné d’avoir été pris en ligne de mire comme vous dites mais en comparaison à mes premiers séjours et à nos premiers jours dans le pays, la différence fut douloureuse… Et c’est justement cette tension à Andijan qui nous a fait prendre conscience que notre aventure et nos rencontres des Ouzbeks, ou des Turkmènes, ne pouvaient être simples et « pures »… et je tenais à ce que le lecteur vive ces découvertes, peut-être naïves, à notre rythme. Comme vous le dites si justement, l’inquiétude nous a envahit de manière « subite » au contact d’amis qui eux aussi se sont sentis subitement en danger par notre présence.

Pour reprendre vos mots, moi aussi j’aurais aimé pouvoir plus développé et vivre le quotidien des personnes rencontrées. Trop souvent le rythme ou les visas nous ont poussé à continuer, à courir et à ne nous arrêter que trop peu. Le fait que vous vouliez « en savoir un peu plus » me rassure car c’était mon ressenti pendant l’aventure… et que c’est malheureusement la contrainte de beaucoup de voyageurs !!

TADJIKISTAN …

KIRGHIZSTAN …

KAZAKHSTAN … « Où l’euphorie des uns et la nostalgie des autres laissent doucement la place à l’expectative de tous » Catherine Poujol (Inalco) …

« Tamerlan … devenu Ouzbek par la magie de la réécriture de l’histoire » … Il est né à Chakhrisabz (ou Shahr-e Sabz,  Shakhrisabz) à 80 bornes de Samarcande . Je ne comprends donc pas ce qu’il est insinué ? Il est vrai que les Ouzbeks ont un peu « ressortis du placard » leurs héros (post soviétique) pour les substituer en toute hâte aux figures de l’URSS, mais Emir Timur a toujours été  un enfant du pays ( à défaut d’être à proprement parler « Ouzbek »)

Evangeline :Concernant Tamerlan, mon écriture a sûrement raccourci une situation complexe qui nécessitait un plus long développement.

RUSSIE …

Parenthèse … je trouve cette vidéo.

Mon dieux que l’aventure semble bien plus vaste que l’écris. Que le livre semble un résumé …  Comme n’ai-je pas pu me douter de cela, moi qui me prête également à l’exercice de transcrire une aventure sur papier.

Je trouve important certaines pressisions sur les bons et mauvais souvenirs de l’URSS ( 04:10) … peut-être arriveront-ils plus tard dans le livre ?

ESTONIE … On parle production musicale (Trop court !!!).

Evangeline :« On parle production musicale » oh que oui !! Patricio me l’avait déjà noté…

LETTONIE … Page 266, ligne 25, … ne manque-t-il rien ? « cinquante … ».  La petite coquille … ça me fait sourire. ça rajoute toujours de la personnalité à l’ouvrage et surtout à l’édition (Edition Alta Plama  … 2008).

 » Trop souvent, nous devons partir au moment où les amitiés deviennent sincères et les habitudes agréables. Mais cette fugacité a du bon ; prise dans l’urgence, les rencontre  et les amitiés gagnent en profondeur. , nous avons sauté les étapes de la politesse et de la découverte de soi pour aller directement à l’essentiel de l’intimité sans préliminaires et sans faux-semblant. La spontanéité et la sincérité prennent alors toute leur place. » … une impression de « deja vu »

Evangeline :Vous relevez des coquilles… je les ai relevé aussi en relisant le livre à froid… avec un peu de chance, une deuxième édition devrait corriger ces coquilles et ajouter une carte en début d’ouvrage (oubliée aussi)

LITUANIE …

Gruto parkas… Après Disneyland : »Sovietland »

BIÉLORUSSIE …

UKRAINE … « Au royaume du kitsh, les Russes sont rois! », je confirme ! (message personnel, pour la paix du ménage : Je t’aime, mon amour) !

Boutade soviétique à l’imagerie légère mais sonnant tellement juste, concernant la corruption omniprésente : « Les lois, c’est comme les barrières d’un champs, les grands chiens sautent par-dessus, les petits chiens se faufilent par -dessous et seuls les cochons n’arrivent pas à passer »

MOLDAVIE … Zdob si Zdub : « Il  laisse tomber le hard rock et se rapproche de l’ethno rock en poussant à l’extrême la musique traditionnelle … » ! ( Youtube ) C’est notre « rock festif » à nous quoi !?

Evangeline :Zdob si Zdub, un clin d’oeil spécial pour ce groupe si doué et malheureusement peu connu à l’ouest...

Plan de route

PARIS …

Les trois dernières pages du livre  (entre Moldavie et Paris) me font sombré dans la nostalgie d’ impressions partagées. Cette sensation de départ, qui laisse ce petit gout de tristesse, plus que de joie, dans le cœur.

Pour tout ce qui sont passé « dans un coin, par là-bas », cette aventure ne peut que réveiller les souvenirs, les enrichir ou les confronter à leurs propres visions des choses. J’appréciais  les trop rares photos de l’ouvrage …  Le site du projet d’origine :http://www.15ans15pays.com/ , est un bon complément au  livre  à ce niveau (ainsi qu’ au niveau des informations entourant le projet). Tout cela donne presque une autre dimension au livre.

Madeleine (Maillard) a dit … (recupération d’un post perdu)

(Il manque à ce post les réponses amicale de Madeleine Maillard, effacées par erreur … )

Madeleine Maillard est la personne qui m’avait gentiment prêté « les petits enfant de Lénine ».Nous parlons souvent de nos points de vue sur la Russie et l’ex-URSS. Elle m’a très gentiment donné « accès » à son ouvrage, « Place de Kalouga » qui raconte son passage de 1991 à 1994 dans cette URSS devenu Russie …

Début de ma lecture, début avril,  …

Les premières pages sont des idées rebondissant l’une sur l’autre. J’ai peur de mis perdre et pourtant cela crée et se  transforme en dynamique avant que l’histoire ne  se pose sur un bout d’histoire ; celle de Marina, sa femme d’intérieure.

Madeleine dit franchement ce qu’elle pense est ressent, pour le moment cela me plait.

« Tant qu’il y aura des occasions de faire la fête, l’âme slave trouvera envers et contre tout des raisons d’oublier, des raisonsde vivre, des raisons de survivre, de travailler, d’aimer voire d’espérer. »

Madeleine m’avait dit avoir reçu l’interrogation de plusieurs lecteurs lui demandant pourquoi elle avait introduit son récit par la description de ses relations avec ses femmes de ménages. Sans avoir de répose à cela, j’avoue ne pas me poser de question à ce sujet et juste apprécier cette entrée en matière via le (les …) personnage qui semble le plus propre du « quotidien » de la vie de Madeleine à l’époque.

3 avril …

« Mais en attendant de trouver des animaux, je trouvai la foule, et elle était terriblement laide, pire même. Les jeunes  femmes habillées de cuir moulant de mauvaise qualité, les cheveux ruinés par des colorassions ratées, les dents dorées et le maquillage fluorescent, paraissaient être des vampires, les garçons qui les accompagnaient semblaient disposés soit à les violer sur place, soit à sortir leur kalachnikov, les enfants avaient tous l’air leucémique, leur parents abrutis par le travail ou l’alcool ou les deux, bref  le zoo c’était les humains plus que les animaux ! »

lundi 06 avril …

Je suis troublé par les remontrances faites par Madeleine, aux grandes figures de l’époque soviétique que sont Lénine et Staline. Il est vrai que j’ai un rapport purement graphique avec ces personnages, qui ne sont pour moi que statues et affiches dissociés de tout idée politique. Mes icônes graphiques se recollent à la réalité de leurs actions passé. Les idées du passé qui n’était pour moi que des jeux visuels on trouvait un écho bien réel.

Mardi 07 …

Chapitre sur la galerie Tretiakov, … peintures, … besoin de voir se dont on me parle au détour de la page 78.

J’ai retrouvé traces de certaines œuvres sur internet  :

« …, Fedotov ( … La demande en mariage d’un major endetté » …) «


« … Tolstoï, dont le célèbre portrait par Kramskoï, … «


» … Dostoëvski par Perov, ou Pouchkine par Kiprenski  … »


» et la Boïarina Morozova partait toujours aussi tragiquement en exil en Siberie sous le pinceau de Sourikov,  … »


« … la vierge de Vladimir  … «


« … Roublov, L’annonciation, L’assomption, et surtout la Trinité, qui dégage beaucoup de douceur … »

Mercredi 15 …

Je quitte le monde des musée pour les histoires d’accidentés de la route … la trensition semble bisard mais tout va bien. Histoire de roullette russe entre l’homme et les voitures.  Superbe effet boule de neige page 119 : un geste de civisme et de simple responsabilité civile (en France) mal placé qui peut amené  à l’echec possible d’une vie (en Russie)

Lundi 20 …

Je sors du chapitre « espionnage » … toute une histoire (en fait plusieurs petites) !

Question : Madeleine, quand le lendemain de votre « prise de bec conjugale », le téléphone sonne et qu’une femme proposer un rendez-vous à votre époux … Vous restez vague sur le type de rendez-vous. Je n’ose pas lire entre les lignes de peur de « me faire tout un film », en imaginant que l’on voulait placer votre mari dans les bras d’une charmante espionne … ?

Je crois que j’envie vos enfants quand vous raconté qu’ils jouaient à crier sur  les coins et recoins ou ils pensaient avoir localisé des micros … « Des jeux d’espions », qu’elle bonheur pour des enfants !

Mercredi 22 …

Je continue à dévorer l’histoire de cette aventure !

Jeudi 23 …

Du déjà vu . Je m’aperçois que Madeleine a pensé son lire, chapitre par chapitre et non comme un tout. Cela n’empêche en rien ces histoires, mises bout à bout,  de construit une aventure cohérante et très passionnante  (  … à mes yeux) Mais pourquoi dis-je celà. Car à plusieurs reprise Madeleine reprend, repasse sur une évocation deja introduit au coeur d’un autre événement, d’une autre page.

Le dernier que je viens de lire, est ce professeur de français qui enseignait un peu par hasard … déjà croisé sur quelques lignes, il fait son retour pour longuement,  page 215.

Cela me donne des repères, dans cette vie racconté. Cette vie que j’ai du coup deja l’impression de connaitre,  et de reconnaitre.

Mercredi 29 avril

Cette vie de femme expatriée ressemble à un mélange compliqué … intendance du foyer, épouse en représentation pour la France, participation à la communoté des expatriés, et découverte du pays.

Connaissant une personne ayant vécu le même type d’expérience, je reste une fois de plus perdu entre deux sentiments.

Le premier est de me dire que se sont de « belles vacances actives » que d’accompagner son époux en voyage, en n’ayant rien de précis à faire que de vivre pour sa famille.

( Et si je ne connaissais donc pas un autre personne ayant vécu + ou  – la même chose, je ne pourrai pas réaliser …) Le deuxième sentiment  qui est celui d’admiration de ces personnes donnant à leur conjoint un partie de leur vie (et des fois, le sacrifice de leurs ambitions personnelles) au service d’une carrière et pour amener une tranquillité d’esprit à tous. Etre là, pour assuré à l’autre qu’il n’a qu’à s’occuper de lui et de son travail. Assurer le quotidien dans un pays compliqué (même juste culturellement)

Et même si être femme de militaire ressemble à un travail à temps plein (dans le cas de Madeleine) j’avoue que quand même ça semble laisser place à de bons moments pour profiter de la vie (Confirmation déduite par le nombre de musée et visite divers présentées  depuis le début du livre … je suis à la page 265)

30 avril …

Je commence à me lacer des milles et une visites de musée  énumérées … Les histoires de mussée pourraient presque faire vivre à elles seule un livre (dédié) appeler : « Les petites histoires de mussée »

Lundi 04 mai

Chapitre sur le racisme en Russie.

Madeleine se souvient des paroles de son guide Ouzbek lui expliquant que, contrairement à Moscou,  « les juifs sont heureux ici ».  Pour compléter cela je dirai (tout en étant incapable de donner les dates précises) à mon tour, ce que j’ai lu dans un livre de Catherine Poujol (Ouzbekistan, la croisée des chemins, édition Belin), comme quoi à une époque, dans certaines régions et surtout la ville de Boukhara il y avait  tellement de personne de confession juive qu’il y avait eu naissance d’un mouvement appeler les juifs Boukharoïtes. Il   disparu définitivement avec leur retour massif en Israël après la seconde guerre mondiale.  … et donc pas étonnant que les juif y soit bien perçu.

Mardi 05 …

« Lénine en expo permanante »

J’avoue que si le mausolé existe encore (Lénine a été enterré il y a peu ?), je ferai partir de ces gens curieux de voir celui qui pour moi est juste un produit marketing,  l’une des égéries de la marque CCCP (« CCCP, parce que nous le valons bien ! »).

Mercredi 06 avril

J’ai fini les dernières pages hier.  Biensur que ce livre racconte surtout un pays mais je m’attendais à une fin plus centré sur les personnages.

Je m’attendais (ou voulais)  nu fin  comme dans un film :  » Aujourd’hui, Yves est devenu … Nicolas, lui est maintenant … Pas de nouvelles de Natasha, prof de Russe, mais par contre … Et moi … »

C’est finalement pour moi, plus un récit d’aventure sur le quotidien bien particulier (à bien des niveaux) d’une famille plus que celui d’un pays.

C’est la vie facile d’une femme expatriée, qui visite. C’est la vie compliqué d’une femme en représentation pour la France, qui joue à la maitresse de maison sur commande. C’est le soutien d’une femme à son époux et sa carrière, qui se plie au protocole . C’est une mère de famille qui protège ces enfants. C’est la peur d’une femme face à un pays  étranger et « étrange ».

Je ne connais rien ou presque de ce que Madeleine présente dans son livre mais est imaginé tout ce qui y était écrit. J’ai adapté ses souvenirs à quelques images de films et autres reportages pour vivre un très bon moment.

Le fait de connaitre,  Madeleine a (peut-être et surement) joué sur  le fait de la mettre en situation avec un peu plus d’intéret qu’un autre.

Madeleine, j’ai eu grand plaisir à lire et m’imaginer vos aventures.