« Boarding now » sous Indesign

Comment faire un tableau d’embarquement d’aéroport version « old school » sous Indesign sans perdre de temps ?

C’est un peu la question qui c’est posée à moi dernièrement.
Du coup j’en profite pour en faire un petit tuto, cela pourra vous faire gagner encore plus de temps !

En partant d’un document format A4 pour y loger (par défaut) une douzaine de facettes voici ma proposition :

1.    Création d’un rectangle noir de Largeur (I) : 16 mm et de Hauteur (H) : 11mm
Sélectionnez l’option de bords arrondis et réglez sur 1,3 mm dans le champ juste au-dessus.


2.    Doublez la forme ainsi crée et placez-la en dessous du premier rectangle (en copier/coller ou en déplaçant la forme + alt )
3.    Copiez à nouveau les deux formes obtenues en les décalant de 16,5 mm en X
Recommencez la duplication jusqu’à la construction de votre ligne entière.
Indesign vous aide à garder un espacement régulier entre les facettes.


4.    Pour que le rendu soit visuellement plus intéressant une deuxième ligne (minimum) s’impose (non?). Dupliquez la ligne et copiez-là avec un décalage de 27,5mm en Y

On a maintenant le lettrage …

5.    J’ai opté pour la typo Consolas, Regular en 68pt avec une approche de 130 … à partir de la 4ème lettre l’approche bouge une peu. J’ajuste le placement avec une approche de 140 pour la fin de la ligne.  Pour la couleur je suis sur un jaune CMJN : 0, 0, 100, 0
Pour écrire les deux lignes sur un même calque texte la valeur d’interligne est de 78,3m

Amusez-vous bien et bon vol !

 

Première approche d’Encore (Part I)

Pour le DVD de mon exposition, j’ai voulu m’amuser avec Encore (version CS5) .

Ce logiciel de gestion de sous-titres n’a rien de bien méchant à comprendre  (en tout les cas concernant les fonctionnalités de bases auquel je me suis auto-initié )

Je vous propose donc de vous retranscrire ses première notions sous Encore …

« Part one » : Introduction aux fonctions de bases

 

 

 

 

: Bouton affichant la zone d’admissibilité

 

: Bouton (dans fenêtre moniteur),  permettant l’ajout d’un ST

 

Aparté : Référence  de bases pour faire « des sous-titres de  pro »
(Désolé de ne pouvoir rendre à sous auteur ce qui lui appartient, mais je ne retrouve pas le lien de cette source)

– La police utilisée est Helvetica 28.
– les caractères sont en jaune.
– Un maximum de 36 caractères par ligne (incluant les espaces), mais cela dépend de la largeur des lettres : un W compte pour 1 caractère, mais A, B ou C compte pour 0,8 par exemple, un f ou un i compte pour 0,3.
– Deux rangées de sous-titres maximum (si possible)
– Caractères autorisés (pour une diffusion en France) : !  » % & ‘ ( ) * + , – ; / : > < = ? en plus des lettres et chiffres classiques.
– Sous-titrage du titre du film : 4 secondes minimum.
– Durée minimale d’un sous-titre : 1 seconde, durée maximale 10 secondes.
– 5 images minimum entre deux sous-titres.
– On évite qu’un sous-titre chevauche un changement de plan.
– Un sous-titre disparait au minimum 4 images avant un changement de plan, et il apparait minimum 4 images après le changement de plan.
– Si besoin, un sous-titre peut cependant chevaucher un changement de plan, à la condition qu’il apparaisse ou disparaisse au moins 1 seconde avant ou après ce changement de plan.

…  mais après vous personnalisez vos sous-titres comme bon vous semble, au final.

 

« Part two » : menu dvd

Si vous voulez faire les choses « correctement » pour réaliser votre DVD,  il faut créer  …  son  menu  !

Le travail de création reste facile, via Photoshop.  Par contre il faut faire attention à bien lier vos boutons à des actions  sous peine encore une fois de bloquer le rendu de votre projet. Mais ça c’est une autre histoire …

Grain photo « argentique » pour photo couleur numérique

Durant et un peu après mes études de photo,  j’ai eu le plaisir (et presque la chance, vu la difficulté d’organisation et la rareté de certains produits maintenant) de pratiquer le développement et  le tirage photo noir en blanc. Aujourd’hui passé au « tout numérique » par facilité, j’ai toujours été en manque de grains …

Pour ce qui si connaisse un peu, j’étais « spécialiste »(parmis tant d’autres)  de « la HP5 poussée à 1600 » et un brin sur développé. Au final, et en clair, j’avais droit à de bons et beaux grains,  que je complais souvant avec un tirage à la limité du bouché sur les noirs ( Pour ceux qui tire … j’étais très copain avec mon Grade 5)

Tout ça pour dire que même si depuis je suis passé à l’ordi pour finaliser mes images plutôt que derrière un passe vue, y pas de raison pour essayé d’obtenir le même rendu …

Voici (assisté par le livre : Photoshop CS2 pour les Photographes) une première approche  du truc. Je recherche une manipulation globale « rapide » et pour le moment je n’ai pas encore trouvé à ajouter les amalgames, gros grains,  liés souvent au sur développement dans les zones de gris moyens.

Suite au prochain épisode …

Liens vers la Version Original  en HD


Première rendu Noir et blanc  (HD)

La même chose avec juste un petit contour noir version « passe vue d’agrandisseur » (HD)