Ouzkékistan 2010, les fresques

Fresques … je sais pas si c’est le bon terme … ? Peintures murales, peut-être … ?

Loin de vouloir analyser ou même d’avoir un avis « pour ou contre » sur les messages présentant des idéologies ultra-patriotiques , je suis juste un fan de ce style graphique !

Soucis, pour prendre ses fresques il faut :

– Soit gérer une « opération escargot »,

– Soit piler  sur les grands axes routiers,

– Soit avoir des reflex de folie et un appareil sur le bon mode et avec une vitesse d ‘obturation au max (et donc dans une lumière qui cartonne)

– …

Vous l’aurez compris ses peintures sont très souvant placés sur les routes et c’est donc le plus souvant en voiture que l’on les croise.

Ceci provoquant une difficulté pour découvrir, « analyser », et profiter du visuel, tout en  anticipant le shooting … sauf si l’on tombe dans un bouchon ( comme ci-après)

Ouzbékistan 2010, Photo volée

On m’a toujours dit que les photos dans le métro Ouzbek était interdites. Raison politique ou peut-être liée au fait que certaines stations jouent le rôle de coffre fort  avec de grand porte géante, type chambre forte … ? (Surement des abris anti-atomique durant le temps de l’URSS et de la guerre froide ?) En tout cas le nombre de personnel et de policier dans le métro (jusque dans les wagons)  ne m’ont jamais vraiment motivés à prendre tranquillement des photos de ce métro qui mériterait pourtant quelques belles images.

Après trois voyages dans ce pays, je ne pouvais néanmoins pas revenir sans au moins une image, même prise à la volé, à toute vitesse, sans cadre, …

Dernier jour et une minuscule photo bien innocente, au très léger goût d’interdit.

Ouzbékistan 2010, la statue

Dans les petits objectifs fixés pour ce voyage, je voulais prendre le temps de retrouver une statut vu sur internet et dont j’avais flashé sur son « design ».

Deuxième jour et voilà que je passe devant, en taxi, par hasard mais pas le temps de m’arrêter. Et puis départ pour la province, … ça sera au retour.

Comme souvent, le dernier jour pointa son nez et on se recroisa de la fenêtre d’un taxi … une sorte de consolation et attendant la prochain fois.

Statue commémorant  le tremblement de terre qui eut lieu le 26 avril 1966 – 7.5 sur l’échelle (de Monsieur Charles Francis) Richter,  et lourdes conséquences pour la ville de Tachkent