En ce 23 juin je commence la lecture du livre d’Antoine De Maximy : « aVant d’aLler dOrMir cHeR vOus« .

Passant  au rayon petite enfance de ma médiathèque, je me dis qu’avant de me lancer dans la création d’un documentaire, il y a aussi à lire de l’expérience des autres.

Je m’oriente donc vers un ordinateur pour réaliser une recherche. DE MAXIMY me vient en tête. Peut-être parce que j’avais vu son livre la semaine dernière dans les rayons d’un magasin. Trouvé.

Retour à la maison. Tout le monde dort sauf moi, chassé de mon lit par mon fils que ne veut pas dormir dans son lit.

Lisons …

Et moi qui doute déjà du bien-fondé et de l’intérêt  de mon projet de documentaire,  je tombe dès la première page sur une pensé positive, voir même un coup de pied au cul. ADM en pleine réflexion sur son concept d’homme/caméra se motive, se remotive en se disant  :« T’es qu’un con, t’as même pas essayé ». Je crois que je vais essayé de faire mienne cette phrase pour la suite de cette aventure !

Déjà ravis d’avoir commencé ce livre.

11 juillet

Ma lecture avance. J’adore ce booking. Je vis par procuration la vie d’aventurier de l’image d’ADM.

Certaines phrases se colle à moi comme des confirmations, révélations ou pense-bête pour mon projet de documentaire :

« … je me fais un grand plaisir : je filme le monde tel qu’il est. »

(Travaillant sur le concept de JDCV ) « … je  visiterai trois endroits bien différent : une ville, un lieu touristique ou emblématique et un coin reculé … » 

« On élude l’information typique du documentaire … Pourquoi ? Parce qu’on s’en fout. … Ceux qui retiennent le savent déjà  et ceux qui oublient l’oublieront à nouveau. Pourquoi alourdir le film ? «   … et puis y a Wikipédia 😉

« … indications nécessaires à la compréhension de mon voyage, et rien d’autre.  … toutes les informations sont écrites. Pas de commentaire. « 

23 juillet

Page 272 – Monsieur DM je vous confirme que votre approche du cadrage fait sourire le photographe que je suis. Mais je dois saluer la simplicité, la clarté de votre explication. C’est un peu  « Le cadrage pour les nuls ». Je crois que je n’aurai pas su l’expliquer mieux que vous et  en si peu de lignes.

J’ai trouvé « un peu d’eau à mon moulin », encore un peu plus de motivation dans la satisfaction d’un autre. Je photocopie (je vole) les annexes à la fin du livre (pour plus tard avec MVMO) présentant le paquetage et la méthode de travail.

Il m’aura fallu un mois de (bref) transports en commun pour terminer le livre.  En (très) résumé : l’histoire d’un mauvais élève, un homme privilégiant l’optimisme et motivé par l’envie de réussir de belles choses dans le monde de l’image.

Je me suis aperçu que je n’avais pas suivi tous les JDCV. Il va falloir que je me rattrape en DVD !

Monsieur De Maximy, merci d’avoir partagé ces bouts d’aventures.