Un demi en une image
On s’attendait pas à grand chose et on y a eu droit : un match âpre, tendu, plein de vice. Les pieds volèrent haut, voire très haut et malgré ce match qu’on peut qualifier de match d’homme, on a vu de belles choses. Des dribbles (Arjen Trocher recommençant pour la 12567eme fois de la saison son départ de l’aile gauche pour repiquer au centre notamment) et surtout des buts, plein de buts. Les hollandais remportent donc cette demi-finale après un […]
L’ensemble du peuple allemand se réjouit de la qualification pour les demi-finales. Les allemandes ont passé un week-end chaud et humide. J’espère que les allemands en ont bien profité.
Une enquête menée par la Chambre des Lords à propos de l’échec de l’équipe anglaise aurait révélé que le problème viendrait de la taille des shorts. Steve Robert, le leader de l’équipe aurait notamment été touché à cause d’un appendice hors-normes. La ministre des sports a promis de prendre des mesures.
Une fois de plus, l’Allemagne retrouve le dernier carré de la compétition. Pourtant les allemands ont hésité longuement avant de se lancer à l’attaque, la faute à un grigri perdu dans la pelouse. Grâce à leur buteur vedette, polonais d’origine au sang froid, le peu gracieux Kool, ils l’emportent contre des argentins un peu lourds, surement lestés par le dernier asado partagé entre joueurs et staff.
L’arrière latéral de la sélection portugaise ne brillait jusqu’à présent pas trop sur le terrain. Il en profitait pour passer ses soirées dehors à l’insu de son sélectionneur. Aucune conséquence si ce n’est quelques gueules de bois carabinées. Celle d’hier a été particulièrement corsé, le joueur se rendant compte un peu trop tard qu’il ne faut pas faire confiance à ses compagnons de beuveries : Ses bras ressemblaient à une vieille Opel Corsa tunée.
Une deuxième mi-temps complètement raté par les Auriverde sem cabeça, à l’image de la sortie hasardeuse du gardien brésilien sur le but des Oranjes qui ne manquaient pas de jus.
L’Uruguay renoue avec son glorieux passé en éliminant (par 4 tirs au but à 2) les ghanéens qui ne réaliseront pas l’exploit de représenter le continent africain pour la première fois en demi-finales d’une coupe du monde de football sans tête. Un héros national Je suis le plus grand gardien de la compétition, l’attaquant de la Celeste Sin Cabesa a effectué le plus bel arrêt de sa carrière, les gardiens uruguayens ont été héroïques dans le jeu et dans l’épreuve […]
Lassé de dominer les entrainements malgré un âge double de celui de ses joueurs, un poids triple et un pontage, Diegito se laisse aller et tire ses pénos à la force de son souffle divin. Il parait qu’après les fayots, Diegito attrape la lucarne à tous les coups.
On se moque
Après le match nul, vraiment nul, face à son rival sportif, le coach de la sélection aux trois lions étêtés s’est même permis de chambrer son adversaire en lui envoyant un tendre baiser (à défaut de mettre un but). Il va sans dire qu’il ne l’a pas fait du tout pour lui rappeler qu’il lui avait carotté sa WAGS lors de la saison précédente.
Contrairement au conte pour enfants, ce baiser a eu pour effet de nous endormir « One, two, three… On s’est endormi »
image d'archive
Sans commentaire…
Après la faillite de 2002 (les contrats publicitaires, les triples portables, les melons gros comme des pastèques, la blessure de Dieu, etc …), la France récidive et se fait balader par l’équipe des Sombreros.
Le capitaine Patriste-Aivray s’emmerde prodigieusement et attend la fin du match en chiant sur le gazon, courir c’est trop fatiguant. Pourtant l’ambiance était bonne, le groupe vivait bien le premier match nul.
Quant au goal, il plonge à tort et à travers, pour rattraper les grossières erreurs de ses petits camarades de la défense. Spiderman n’était pas suffisant malgré tout sur ce match pour éviter la défaite.
Il ne reste plus qu’à attendre pour voir de quoi l’avenir sera fait. La FFST renouvellera peut-être son lot de cerveaux afin de doter son équipe de joueurs capables de réfléchir en cours d’action.
Les joueurs espagnols se sont vus trop beaux ?
Suisse-Espagne
Personne n’aurait parié sur la victoire des joueurs de la sélection suisse emmené par Omar Itsfull. Le seul but de la rencontre a été inscrit par la Nati à la 52e minute de la rencontre. Le milieu suisse profitait d’un cafouillage à la suite d’une sortie ratée du portier maison pour pousser le ballon dans le but vide.
Belle opposition de style ce soir entre une équipe pratiquant un football alerte, vif, tout en dévouement et en don de soi, tourné vers l’offensive et une autre lourde, apathique, sans saveur. Vous l’aurez compris, les brésiliens n’avaient pas que peu de chance de l’emporter mais heureusement pour eux, la glorieuse incertitude du sport les a aidé à surmonter l’obstacle de notre glorieuse équipe de la république populaire. Nos prospères camarades ont donc laissé les danseurs de samba se ridiculiser pendant une mi-temps, offrant un impérissable mur à leurs attaques. Même le coach brésilien, l’ancien joueur Unga Unefye, ne savait plus où donner de la tête à tel point qu’il n’arrivait même plus à diriger ses propres mains. Les brésiliens étaient pris dans une véritable nasse d’abnégation pour
l’édification d’une équipe riche et puissante, leur joueur vedette se retrouvait dans la merde (en brésilien Caca balle au pied). Finalement, après avoir laissé les brésiliens marquer 2 buts, notre glorieuse équipe s’est décidé à jouer et à marquer un but somptueux suite à un mouvement digne des plus belles offensives de notre glorieux père à tous Kim Il Sung. On lit sur le visage du buteur la joie de celui qui a tout donné à sa patrie dans la continuité de la tradition de grand essor révolutionnaire chère à notre leader Kim Jong Il, par ailleurs créateur fashion de nos tenues d’un rouge immaculé.
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